La bergere et ses moutons !!! =DD

Il etait une fois une bergere et ses moutons qui ramassaient des pissenlits dans un champ de chocapics fleuris. C'etait avec une joie non dissimulée qu'elle les empilaient dans une boite de pate a sel qu'elle avait fabriquée lorsqu'elle se trouvait indisposée, sous acide et qu'elle avait goute pour la premiere fois les petits caillous blanc. Elle rencontra une main gantée qui la salua vivement, puis lui caressa le visage en lui disant : " Vous avez la peau aussi douce que si vous l'aviez lavée avec du Palmolive peau sensible." Elle lui adressa un regard langoureux puis l'embrassa amoureusement sur le majeur, puisque c'était le doigt le plus long et donc le plus dur, donc le plus sexy. La bergere qui s'appelait Nicomède-Cunégonde, s'attela à d'autres occupations plus intéressante, ne manquant pas de jeter des petits coup d'oeil a la main gantee qui essayer de se deshabiller. Soudain, elle trébucha, s'écorchant l'orteil gauche au passage, mais ce n'était pas le pire, puisque lorsqu'elle se releva, un de ses moutons avait mange la main gantee ! Elle transparaissait au milieu des côtes protubérante de l'animal, et remuait en tout sens tandis que celui-ci alla manger un peu d'herbe pour digerer. Nicomede-Cunegonde regardait son mouton avec dégout tandis qu'elle s'imaginait déjà l'abattre avec rage. Elle se saisit d'une énorme pierre qu'elle déraçina du sol puis se rendit compte que cet pierre etait en realite une fee obese. Elle s'excusa et la fee lui accorda un seul voeu. LA bergere se mit a reflechir et fit le voeu que l'une de ses jambes se transforme en bras. Quelques secondes plus tard, la fée qui allait exaucer son souhait s'interrompit soudain dans son blabla magique pour lui demander s'il ne vallait pas mieux qu'elle souhaite que la main gantée trouve le chemin de la lumière qui la guiderai en dehors du mouton qui gigotait toujours comme une fraise éventré, et qui semblait danser la polka. Cependant Nicomède-Cunégonde refusa avec certitude, ce qu'elle voulait, c'était un troisième bras. Alors, la fée obèse devint toute rouge, elle était littéralement sur le point de faire exploser la boucle de sa ceinture, comment osait-on la contredire alors qu'elle avait la bonté d'exaucer un voeu uniquement parce que l'on s'était excusé auprès d'elle, et rien de plus ? Elle lui foutu trois claque et lui cracha à la figure avant de l'envoyer se faire foutre, puis elle s'enfuit aussi loin que ses jambes dodues le lui permettaient, la bergère fut ...

Il etait une fois une bergere et ses moutons qui ramassaient des pissenlits dans un champ de chocapics fleuris. C'etait avec une joie non dissimulée qu'elle les empilaient dans une boite de pate a sel qu'elle avait fabriquée lorsqu'elle se trouvait indisposée, sous acide et qu'elle avait goute pour la premiere fois les petits caillous blanc. Elle rencontra une main gantée qui la salua vivement, puis lui caressa le visage en lui disant : " Vous avez la peau aussi douce que si vous l'aviez lavée avec du Palmolive peau sensible." Elle lui adressa un regard langoureux puis l'embrassa amoureusement sur le majeur, puisque c'était le doigt le plus long et donc le plus dur, donc le plus sexy. La bergere qui s'appelait Nicomède-Cunégonde, s'attela à d'autres occupations plus intéressante, ne manquant pas de jeter des petits coup d'oeil a la main gantee qui essayer de se deshabiller. Soudain, elle trébucha, s'écorchant l'orteil gauche au passage, mais ce n'était pas le pire, puisque lorsqu'elle se releva, un de ses moutons avait mange la main gantee ! Elle transparaissait au milieu des côtes protubérante de l'animal, et remuait en tout sens tandis que celui-ci alla manger un peu d'herbe pour digerer. Nicomede-Cunegonde regardait son mouton avec dégout tandis qu'elle s'imaginait déjà l'abattre avec rage. Elle se saisit d'une énorme pierre qu'elle déraçina du sol puis se rendit compte que cet pierre etait en realite une fee obese. Elle s'excusa et la fee lui accorda un seul voeu. LA bergere se mit a reflechir et fit le voeu que l'une de ses jambes se transforme en bras. Quelques secondes plus tard, la fée qui allait exaucer son souhait s'interrompit soudain dans son blabla magique pour lui demander s'il ne vallait pas mieux qu'elle souhaite que la main gantée trouve le chemin de la lumière qui la guiderai en dehors du mouton qui gigotait toujours comme une fraise éventré, et qui semblait danser la polka. Cependant Nicomède-Cunégonde refusa avec certitude, ce qu'elle voulait, c'était un troisième bras. Alors, la fée obèse devint toute rouge, elle était littéralement sur le point de faire exploser la boucle de sa ceinture, comment osait-on la contredire alors qu'elle avait la bonté d'exaucer un voeu uniquement parce que l'on s'était excusé auprès d'elle, et rien de plus ? Elle lui foutu trois claque et lui cracha à la figure avant de l'envoyer se faire foutre, puis elle s'enfuit aussi loin que ses jambes dodues le lui permettaient, la bergère fut la victime d'une crise d'hystérie frénésique. Elle s'empara de son batôn de bergère qu'elle avait appuyé contre un arbre et frappa sauvagement le mouton avec. Un cochon aux couleurs de l'arc-en-ciel débarqua de nul part avec un sac à dos piqué à un singe, il...

Il etait une fois une bergere et ses moutons qui ramassaient des pissenlits dans un champ de chocapics fleuris. C'etait avec une joie non dissimulée qu'elle les empilaient dans une boite de pate a sel qu'elle avait fabriquée lorsqu'elle se trouvait indisposée, sous acide et qu'elle avait goute pour la premiere fois les petits caillous blanc. Elle rencontra une main gantée qui la salua vivement, puis lui caressa le visage en lui disant : " Vous avez la peau aussi douce que si vous l'aviez lavée avec du Palmolive peau sensible." Elle lui adressa un regard langoureux puis l'embrassa amoureusement sur le majeur, puisque c'était le doigt le plus long et donc le plus dur, donc le plus sexy. La bergere qui s'appelait Nicomède-Cunégonde, s'attela à d'autres occupations plus intéressante, ne manquant pas de jeter des petits coup d'oeil a la main gantee qui essayer de se deshabiller. Soudain, elle trébucha, s'écorchant l'orteil gauche au passage, mais ce n'était pas le pire, puisque lorsqu'elle se releva, un de ses moutons avait mange la main gantee ! Elle transparaissait au milieu des côtes protubérante de l'animal, et remuait en tout sens tandis que celui-ci alla manger un peu d'herbe pour digerer. Nicomede-Cunegonde regardait son mouton avec dégout tandis qu'elle s'imaginait déjà l'abattre avec rage. Elle se saisit d'une énorme pierre qu'elle déraçina du sol puis se rendit compte que cet pierre etait en realite une fee obese. Elle s'excusa et la fee lui accorda un seul voeu. LA bergere se mit a reflechir et fit le voeu que l'une de ses jambes se transforme en bras. Quelques secondes plus tard, la fée qui allait exaucer son souhait s'interrompit soudain dans son blabla magique pour lui demander s'il ne vallait pas mieux qu'elle souhaite que la main gantée trouve le chemin de la lumière qui la guiderai en dehors du mouton qui gigotait toujours comme une fraise éventré, et qui semblait danser la polka. Cependant Nicomède-Cunégonde refusa avec certitude, ce qu'elle voulait, c'était un troisième bras. Alors, la fée obèse devint toute rouge, elle était littéralement sur le point de faire exploser la boucle de sa ceinture, comment osait-on la contredire alors qu'elle avait la bonté d'exaucer un voeu uniquement parce que l'on s'était excusé auprès d'elle, et rien de plus ? Elle lui foutu trois claque et lui cracha à la figure avant de l'envoyer se faire foutre, puis elle s'enfuit aussi loin que ses jambes dodues le lui permettaient, la bergère fut la victime d'une crise d'hystérie frénésique. Elle s'empara de son batôn de bergère qu'elle avait appuyé contre un arbre et frappa sauvagement le mouton avec. Un cochon aux couleurs de l'arc-en-ciel débarqua de nul part avec un sac à dos piqué à un singe, il commença à chercher des oeufs de pâques dont il rafolait mais n'en trouva guère en cette saison. Il lécha subtilement le sol avec envie et découvrit une bergère totalement hirsute et à moitié nue en train d'abattre un mouton, il hurla à qui voulait l'entendre que Dieu avait réalité son fantasme le plus profond, puis il découvrit avec affolement un oeuf -pas un de pâques- mais un oeuf de dinosaure ! Son regard s'illumina et un grouissement étrange se fit entendre. Consient que cette bergère l'avait aidé dans sa queête, il se jetta sur elle et lui mordilla le bout des seins avec acharnement. Soudain...

Il etait une fois une bergere et ses moutons qui ramassaient des pissenlits dans un champ de chocapics fleuris. C'etait avec une joie non dissimulée qu'elle les empilaient dans une boite de pate a sel qu'elle avait fabriquée lorsqu'elle se trouvait indisposée, sous acide et qu'elle avait goute pour la premiere fois les petits caillous blanc. Elle rencontra une main gantée qui la salua vivement, puis lui caressa le visage en lui disant : " Vous avez la peau aussi douce que si vous l'aviez lavée avec du Palmolive peau sensible." Elle lui adressa un regard langoureux puis l'embrassa amoureusement sur le majeur, puisque c'était le doigt le plus long et donc le plus dur, donc le plus sexy. La bergere qui s'appelait Nicomède-Cunégonde, s'attela à d'autres occupations plus intéressante, ne manquant pas de jeter des petits coup d'oeil a la main gantee qui essayer de se deshabiller. Soudain, elle trébucha, s'écorchant l'orteil gauche au passage, mais ce n'était pas le pire, puisque lorsqu'elle se releva, un de ses moutons avait mange la main gantee ! Elle transparaissait au milieu des côtes protubérante de l'animal, et remuait en tout sens tandis que celui-ci alla manger un peu d'herbe pour digerer. Nicomede-Cunegonde regardait son mouton avec dégout tandis qu'elle s'imaginait déjà l'abattre avec rage. Elle se saisit d'une énorme pierre qu'elle déraçina du sol puis se rendit compte que cet pierre etait en realite une fee obese. Elle s'excusa et la fee lui accorda un seul voeu. LA bergere se mit a reflechir et fit le voeu que l'une de ses jambes se transforme en bras. Quelques secondes plus tard, la fée qui allait exaucer son souhait s'interrompit soudain dans son blabla magique pour lui demander s'il ne vallait pas mieux qu'elle souhaite que la main gantée trouve le chemin de la lumière qui la guiderai en dehors du mouton qui gigotait toujours comme une fraise éventré, et qui semblait danser la polka. Cependant Nicomède-Cunégonde refusa avec certitude, ce qu'elle voulait, c'était un troisième bras. Alors, la fée obèse devint toute rouge, elle était littéralement sur le point de faire exploser la boucle de sa ceinture, comment osait-on la contredire alors qu'elle avait la bonté d'exaucer un voeu uniquement parce que l'on s'était excusé auprès d'elle, et rien de plus ? Elle lui foutu trois claque et lui cracha à la figure avant de l'envoyer se faire foutre, puis elle s'enfuit aussi loin que ses jambes dodues le lui permettaient, la bergère fut la victime d'une crise d'hystérie frénésique. Elle s'empara de son batôn de bergère qu'elle avait appuyé contre un arbre et frappa sauvagement le mouton avec. Un cochon aux couleurs de l'arc-en-ciel débarqua de nul part avec un sac à dos piqué à un singe, il commença à chercher des oeufs de pâques dont il rafolait mais n'en trouva guère en cette saison. Il lécha subtilement le sol avec envie et découvrit une bergère totalement hirsute et à moitié nue en train d'abattre un mouton, il hurla à qui voulait l'entendre que Dieu avait réalité son fantasme le plus profond, puis il découvrit avec affolement un oeuf -pas un de pâques- mais un oeuf de dinosaure ! Son regard s'illumina et un grouissement étrange se fit entendre. Consient que cette bergère l'avait aidé dans sa queête, il se jetta sur elle et lui mordilla le bout des seins avec acharnement. Soudain, la maman dinosaure, a qui appartenait surement l'oeuf, arriva en leur direction et en fit trembler la terre et toutes ces contrées lointaines. La bergère, tremblante, s'accrocha à la queue en tirbouchon du cochon qui tatait à présent son ventre couvert de gelée de papillon...

Il etait une fois une bergere et ses moutons qui ramassaient des pissenlits dans un champ de chocapics fleuris. C'etait avec une joie non dissimulée qu'elle les empilaient dans une boite de pate a sel qu'elle avait fabriquée lorsqu'elle se trouvait indisposée, sous acide et qu'elle avait goute pour la premiere fois les petits caillous blanc. Elle rencontra une main gantée qui la salua vivement, puis lui caressa le visage en lui disant : " Vous avez la peau aussi douce que si vous l'aviez lavée avec du Palmolive peau sensible." Elle lui adressa un regard langoureux puis l'embrassa amoureusement sur le majeur, puisque c'était le doigt le plus long et donc le plus dur, donc le plus sexy. La bergere qui s'appelait Nicomède-Cunégonde, s'attela à d'autres occupations plus intéressante, ne manquant pas de jeter des petits coup d'oeil a la main gantee qui essayer de se deshabiller. Soudain, elle trébucha, s'écorchant l'orteil gauche au passage, mais ce n'était pas le pire, puisque lorsqu'elle se releva, un de ses moutons avait mange la main gantee ! Elle transparaissait au milieu des côtes protubérante de l'animal, et remuait en tout sens tandis que celui-ci alla manger un peu d'herbe pour digerer. Nicomede-Cunegonde regardait son mouton avec dégout tandis qu'elle s'imaginait déjà l'abattre avec rage. Elle se saisit d'une énorme pierre qu'elle déraçina du sol puis se rendit compte que cet pierre etait en realite une fee obese. Elle s'excusa et la fee lui accorda un seul voeu. LA bergere se mit a reflechir et fit le voeu que l'une de ses jambes se transforme en bras. Quelques secondes plus tard, la fée qui allait exaucer son souhait s'interrompit soudain dans son blabla magique pour lui demander s'il ne vallait pas mieux qu'elle souhaite que la main gantée trouve le chemin de la lumière qui la guiderai en dehors du mouton qui gigotait toujours comme une fraise éventré, et qui semblait danser la polka. Cependant Nicomède-Cunégonde refusa avec certitude, ce qu'elle voulait, c'était un troisième bras. Alors, la fée obèse devint toute rouge, elle était littéralement sur le point de faire exploser la boucle de sa ceinture, comment osait-on la contredire alors qu'elle avait la bonté d'exaucer un voeu uniquement parce que l'on s'était excusé auprès d'elle, et rien de plus ? Elle lui foutu trois claque et lui cracha à la figure avant de l'envoyer se faire foutre, puis elle s'enfuit aussi loin que ses jambes dodues le lui permettaient, la bergère fut la victime d'une crise d'hystérie frénésique. Elle s'empara de son batôn de bergère qu'elle avait appuyé contre un arbre et frappa sauvagement le mouton avec. Un cochon aux couleurs de l'arc-en-ciel débarqua de nul part avec un sac à dos piqué à un singe, il commença à chercher des oeufs de pâques dont il rafolait mais n'en trouva guère en cette saison. Il lécha subtilement le sol avec envie et découvrit une bergère totalement hirsute et à moitié nue en train d'abattre un mouton, il hurla à qui voulait l'entendre que Dieu avait réalité son fantasme le plus profond, puis il découvrit avec affolement un oeuf -pas un de pâques- mais un oeuf de dinosaure ! Son regard s'illumina et un grouissement étrange se fit entendre. Consient que cette bergère l'avait aidé dans sa queête, il se jetta sur elle et lui mordilla le bout des seins avec acharnement. Soudain, la maman dinosaure, a qui appartenait surement l'oeuf, arriva en leur direction et en fit trembler la terre et toutes ces contrées lointaines. La bergère, tremblante, s'accrocha à la queue en tirbouchon du cochon qui tatait à présent son ventre couvert de gelée de papillon et d'oreilles d'écureuils séchées. Oui, entre temps le mouton s'était transformé en cochon, cepandant...