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 Isaac & Jazz ● « Kill the Girl ... and the Ghost kill you ! »

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2 participants
AuteurMessage
Isaac J. Shiver

Isaac J. Shiver


Nombre de messages : 198
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Dernière volonté : Meurs en Pet !
Date d'inscription : 12/02/2009

Isaac & Jazz ● « Kill the Girl ... and the Ghost kill you ! » Empty
MessageSujet: Isaac & Jazz ● « Kill the Girl ... and the Ghost kill you ! »   Isaac & Jazz ● « Kill the Girl ... and the Ghost kill you ! » EmptyLun 23 Fév - 0:44



    Croyez-vous aux fantômes ?! Non pas aux fantômes genre Casper (le gentil fantôme) ... Je parle réellement de fantômes machiavéliques et flippants. Isaac, lui n'y croit pas. Comme toutes les histoires débiles qu'on raconte, nous les adultes, aux enfants avant de les embrasser et de les coucher. Isaac a toujours trouve ca stupide. Les histoires de forets, de sorcières, de monstres et de fantômes. Pourtant Everley est la ville la plus propice à toutes ces légendes rurales plus flippantes les unes que les autres. Mais connaissez-vous l'histoire véritable de la maison "hantée" d’Everley ?! Non ?! Vraiment ?! Alors, je vais vous la conter.

    Il y a une bonne quinzaine d'années de cela, un enfant et sa mère étaient arrives dans un petit village nomme Everley. Sa réputation indiciblement déplorable lui avait donne le nom de : Evil Lane : le Passage Maléfique. A vrai dire la petite famille n'avait pas fait attention a ce détail-la et s'était installe dans une petite maisonnette en face de la foret. Elle était vieille et tombait en ruine; elle avait des aires de maison hantée. N'avez-vous jamais eu cette impression horrible d'oppression et de mal-être intérieur a la vue d'un lieu en particulier ?! Et bien le jeune garçon l'avait ressentit, lui. Ils avaient quittaient la maison familial après la mort du père de l'enfant et s'étaient refugie ici, le seul endroit qu'ils connaissaient. Le verrou de la porte était pulvérisé et les fenêtres étaient condamnées. Toutes autres personnes auraient préféré dormir à l'extérieur que dans ce lieu sinistre. Mais désirant la meilleure vie pour son fils, la jeune femme voulu lui donner un minimum de confort. Les jours passèrent et la vie de la petite famille devenait de plus en plus ... vivable. La maison commençait a avoir une allure un peu plus humaine et les fenêtre avait été ouvertes. La maison ne sentait plus le rat mort et les commodités avaient été nettoyées. Ils étaient heureux (ou se rapprochaient beaucoup du bonheur).

    N'allez tout de même pas penser que l'histoire est termine. Si vous êtes la pour écouter une histoire belle et romantique, je vous conseille de partir d'ici immédiatement et de me laisser la terminer. Ou en étais-je ?! Ah oui ! Ils étaient heureux. Jusqu'au jour fatal du 6 mai 1999. La vieille cabane était devenue une jolie maisonnette et la réputation d'Everley s'était améliorée. Donc, en ce beau jour de Printemps, un nouvel habitant s'installa dans le village. Mais personne ne l'avait vu, à part le petit garçon. L'homme masque avait élu domicile dans la chambre du gosse, avec l'accord de ce dernier. S'il le couvrait, il lui donnerait de l'argent. S'il le nourrissait, il lui donnerait encore plus d'argent. Mais si par malheur il disait quoi que ce soit, quelque chose d'horrible arriverai. Le manège durant deux bonnes semaines, jusqu'au jour ou la mère découvrit l'homme dans la chambre de son fils. Le jeune garçon rentra de l'école et vit sa mère nue attachée sur une chaise, le visage remplit de larmes. En face d'elle, l'homme masque la regardait. Que lui voulait-il ?! Rien de plus que sa vie. Devant les yeux et les cris de l'enfant, il arracha les yeux de la femme avec une cuillère a glace et lui brula au chalumeau divers parties du corps. Les coups de couteaux volèrent sur le corps de la jeune femme innocente. Apres la tuerie le corps de la femme était méconnaissable. Le tueur se tourna vers le jeune garçon qui pleurait et criait comme jamais et s'avança vers lui. Mais prit d'une haine indicible, le garçon se jeté sur l'homme et le frappa de partout, lui mordant tout ce qu'il pouvait. Il sentait le gout du sang dans la bouche, ce mélange de rouille et de vinaigre. En quelques minutes le corps inerte de l'homme était allonge à terre et l'enfant pleurait de plus belle. Dans la poche de l'homme se trouvait une carte à jouer. Il la retourna et le visage amuse du valet de pique souriait au jeune garçon. Et il se rit aussi ...

    Isaac regarda partout autour de lui. Il reconnaissait le lieu comme s'il y avait toujours vécu. Non la maison hantée ne lui faisait pas peur, car les fantômes : que nenni. Se n'était que des esprits hantes par leur propre vie qui n'arrivait pas a partir ! La trappe communicante avec le domicile d'Isaac s'ouvrit. Il sursauta. Une ombre entra dans la pièce et s'avançait vers Isaac. Une lumière s'alluma et le visage de Jazz paru dans l'obscurité de la salle exiguë. Isaac resta stupide devant l'apparition de la demoiselle :

    « Qu'est ce que tu fais la ?! Depuis quand tu connais ce passage ?! »

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Jazz L. Daynste

Jazz L. Daynste


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Date d'inscription : 20/02/2009

Isaac & Jazz ● « Kill the Girl ... and the Ghost kill you ! » Empty
MessageSujet: Re: Isaac & Jazz ● « Kill the Girl ... and the Ghost kill you ! »   Isaac & Jazz ● « Kill the Girl ... and the Ghost kill you ! » EmptyLun 23 Fév - 2:55

    Jazz n'a jamais cru aux histoires de fantômes, sauf en rares cauchemars enfantins. Ce qui ressemblait beaucoup à des cadavres pales montés sur roulettes arpentant des couloirs d'hôpitaux sans fin. Bienvenue dans un film d'horreur inventé de toutes pièces mes enfants. Riez et tappez des mains en coeur, on attend plus que vous pour le scénario final.
    Sang. Cris. Frayeur. Tortures.
    Ces films, ces histoires étaient plus drôles qu'autre chose. Elle avait besoin de bien plus. Cette pauvre maison, hantée? Des histoires de gamins dans l'unique but de faire peur en pleine nuit. Elle ne ressentait rien entre ces murs qui l'encerclaient. Ce sol humide, propice à bien des secrets. Une sorte de vide, une peine, la remplissait. Un calme horrible. Comme si elle se sentait bien dans un endroit mortuaire, silencieux, étouffant. Le temps maussade ne rajoutait qu'une atmosphère plus lourde. Elle observait avec avidité chaque détail des endroits par où elle passait, des zones qu'elle touchait du bout des doigts, du regard, qui craquaient à son contact. Il faisait noir. Un vrai crépuscule, une prison. Elle avait la sensation de s'y accomplir. Elle s'assit dans un coin, et commença à planer. Substance illicite, en petite dose, qui circulait en son corps. Elle était légère, sur un nuage de coton. Elle se mit à sourire, à l'absence, à elle-même, à sa déchéance humaine, au vide spectral...
    Une lumière dans la nuit. Un crac. Sursaut de surprise au milieu du calme assourdissant. Son rire s'arrêta, son visage sans expression. Quelqu'un était proche. Elle ne flippait pas. Elle claquait des dents, frigorifiée. Stupidité, elle n'avait même pas pris de manteau. Qui était ce visiteur? Pourquoi ne ressentait-elle rien? Elle aimait la mort, ce côté mystique, impalpable, imaginaire. Elle ne pouvait en avoir peur, elle la cherchait parfois. Sa transe se stoppa net, elle recouvra sa raison. Elle eut besoin de bouger, son corps était totalement endoloris et elle ne tenait pas à être encore plus transie de froid. Elle stoppa net ses jambes, tout mouvement, et alluma la lumière. Il y avait bien quelqu'un. Un homme brun. Le temps que son cerveau se remette en marche et face la liaison, elle le scrutait, chaque détail de son visage, comme si elle regardait au travers. Un sourire bref s'esquissa sur ses lèvres. Isaac. Elle qui voulait être seule, il n'arrivait pas au meilleur moment. Ses yeux l'interrogeaient, semblaient surpris, alors qu'elle tachait de revenir à la réalité. Il était bien en face d'elle. Elle reprit son souffle, s'apperçevant qu'il s'était coupé, avec une montée d'adrénaline avant de faire fonctionner l'éclairage de mauvaise qualité, une ombre fluide à l'autre bout de la pièce. Elle arriva au bout de quelques secondes à sortir des mots de sa bouche:

    «I...Is...Isaac... Qu'est-ce que tu fous dans un endroit aussi sordide??...C'est récent, mais je dois dire que c'est plutôt fascinant..et pratique.»

    Retourner la question, n'y répondre qu'à moitié. A moitié insensé. Jazz tout craché. Elle faillit jurer, sortir des imbécilités, des tonnes de questions, mais tout resta en travers de sa gorge, elle avait perdu le contrôle...
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